j'ai pratiqué le cododo depuis la maternité.....
aprés 14 mois je peux faire une retrospective et une analyse personelle de cette pratique.
en étant tout a fait objective je pense que le cododo des premiers mois est bénéfique à la maman et au nourrisson, je ne donnerez pas de tranche d'âge chaque enfant étant différents et chaque maman ayant sont propre ressenti. Pour les mamans qui allaitent, c'est certains qu'il n'y a pas mieux, pour l'enfant qui vient de naitre il est évident que cela est beaucoup plus rassurant que de se retrouver dans un grand lit froid et tout seul sans l'odeur de ses parents.
Attention toutefois de respecter certaines consignes de sécurité, le cododo n'est pas sans dangers si n'importe quoi est fait.
-ne pas prendre de cachets pour dormir
-ne pas pratiquer le cododo si l'on a bu
-supprimer les coussins et couette du lit
-ne pas mettre l'enfant au milieu des parents préféré au début un bord du lit en ayant pris le soin de sécuriser ce bord en ayant par exemple pousser le lit contre le mur.
il existe des lits side beds a accrocher au lit des parents pour un cododo en toute sécurité.
Si le cododo a de nombreux avantages je pense qu'il n'est pas bons de trop prolonger le cododo, Ici nous avons bien trop trainé jusqu'à un an mon fils s'endormait au sein dans notre lit, outre le fait de se retrouver "esclave" de son petit troll ce qui pourrait passer si l'enfant était vraiment serein grace a cette méthode, je me suis vu confronter au fait que Sacha ne dormait pas bien du tout il se réveillé toutes les heures, se pendait au sein toute la nuit, ne dormait que trés peu la journée et était trés exité....
dans ses conditions il me semble évident de chercher une autre solution.
je ne suis pas pour laisser les enfants pleurer dans leur lit, mais nous avons mon mari et moi pris cette option et plus particuliérement la technique du 2,5,10,15 minutes, l'enfant pleure 2 minutes, si il ne s'arrête pas un des parents y va pour le rassurer puis sort, 5 minutes aprés si l'enfant pleure encore rebelote etc....jusqu'à 15 minutes si l'enfant pleure toujours les parents le sortes du lit le console joue un peu avec et réessaye un plus tard.....nous ne sommes jamais allez jusqu'aux 15 minutes.
je reviens sur la polémique du laisser pleurer l'enfant est un acte barbare......
petite analyse personelle:
-pleurer sert aussi à relacher les tentions, combien de fois avez vous explosé en larme pour vous sentir beaucoup mieux aprés.
-est il plus barbare de laiser pleurer son enfant, ou de le laisser se réveiller toutes les heures la nuit pour le voir fatigué la journée incapable de jouer ...... (je rapelle que le sommeil est essentiel à tous, et que chez l’enfant, en plus de la récupération de la fatigue physique et nerveuse, il sert à la mise en place des circuits nerveux et favorise de nombreuses fonctions mentales et psychiques comme la mémorisation et l’apprentissage.)
le résultats sur Sacha:
le soir nous avons instauré un petit rituel son papa le désabille, je le met en pygama et en gigoteuse, nous lui donnons son doudou, puis une tété un bisou une bonne nuit et son papa va le coucher.... aprés les premiers temps un peu dur ( 2 semaines environs) puis encore 2 semaines mitigées ou il n'était pas vraiment content d'allez se coucher mais sans pleurer dans son lit, juste marroner ; nous voyons le soir un petit homme trés heureux d'aller se coucher tout seul qui ni ne pleure ni ne marrone et qui n'est pas du tout résigné mais heureux de pouvoir trouver son sommeil tout seul.
et le cododo maintenant?
parfois nous cododotons encore dans la nuit, en cas de fiévre ou de dents qui font mal, plus jamais dans la journée pour les siestes.
Pour celle qui préférerons une méthode plus douce que le 2/5/10/15 minutes il existe un livre que je n'est pas
lu mais qui est recommandé par de nombreuses mamans maternantes "Pantley ou le sommeil retrouvé", les résultats osnt parait ils long a avoir et ne marche pas pour les enfants, mais si vous vous y prenez a l'avance sans attendre le point de non retour comme moi peut être que cela vaut le coup.....
